Rencontre Histoire & Mémoire
COLONISATION ET DECOLONISATION : QUEL BILAN ?
Elus, historiens et témoins devant la loi 2005-158
en faveur des Français rapatriés ?
Vendredi 23 septembre 2005 à 14h 30 précises
Palais du Luxembourg - 15, rue de Vaugirard – 75006 Paris
Quelle était la situation politique, économique et sociale des « colonies » avant la présence française ? Qu’elle fut l’action de la France et des Français d’outre-mer ? L’œuvre française en Algérie est-elle comparable à l’occupation nazie en France ou a-t-elle été un facteur de développement des populations? Algérie, Cambodge, Congo, Côte d’Ivoire, Haute-Volta, Maroc, Sénégal, Tchad, Togo, Tunisie, Vietnam… quel bilan depuis la décolonisation ? Que dit la loi 2005-158 en faveur des Français rapatriés ? Faut-il l’abroger ? |
Avec la participation de (liste provisoire):
Jacques Augarde, Ancien ministre, ancien maire de Bougie,
Président du Comité National de Liaison des Rapatriés
Guy Forzy, Ancien Délégué aux Rapatriés
Raoul Girardet, historien
René Bail, écrivain
Jeanine de La Hogue, écrivain
Michel Klen, docteur ès lettres et sciences humaines
Jean Monneret, docteur en histoire
Pierre Montagnon, historien
Jacques Valette, historien
Sont aussi invités : Charles-Robert Ageron, Jean-Marc Ayrault, Michèle Baussant, Pascal Blanchard, Arthur Conte, Jean Daniel, Alain Decaux, Eric Deroo, Philippe Douste-Blazy, Jacques Frémeaux, Patrice Gélinet, Jean-Charles Jauffret, Jean-Jacques Jordi, Evelyne Joyaux, Jean Lacouture, Daniel Lefeuvre, Claude Liauzu, Jacques Marseille, Gilbert Meynier, Josseline Revel-Mouroz, Kléber Mesquida, Pierre Messmer, Raymond Muelle, Gisèle Prinzt, André Santini, Jean Sevilla, Benjamin Stora, Germaine Tillon, Jeannine Vergès-Leroux, Pierre Vidal-Naquet…
(*en attente de leur réponse)
Témoignages :
« J’étais Chef de poste à Madagascar en 1948 »
Fernand Coll, ancien officier d’artillerie coloniale
« Je reviens du Cambodge»
Remi de Vulpillières, photographe
« Quel avenir pour Mayotte ? »
Didier Béoutis, Président de l’Association « Mayotte française »
Rencontre organisée et animée par Jeune Pied-Noir
Contact Médias : Bernard Coll – Gsm : 06 80 21 78 54
Courriel : jeunepiednoir@wanadoo.fr
Bulletin de réservation sur le site : http://perso.wanadoo.fr/jeunepiednoir/jon.wst
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Jeune Pied-Noir
Rencontre Histoire & Mémoire |
COLONISATION et DECOLONISATION
Faut-il abroger la loi 2005-158 en faveur des Français rapatriés ?
Paris – Vendredi 23 septembre 2005 à 14h 30 précises
En présence d’élus, d’historiens, de personnalités et de grands témoins :
Jacques Augarde, Mme Baussant, Guy Forzy, Raoul Giradet, Michel Klen, Jean Monneret, Pierre Montagnon, Jacques Vallette…
Le 10 février 2005 le Parlement adoptait le projet de loi N°2005-158 "portant reconnaissance de la Nation et contribution nationale en faveur des Français rapatriés" (J.O du 23 février 2005). Plus de 43 ans après leur exode, cette loi reconnaît la réalité des crimes commis contre les Français d'Algérie après le 19 mars 1962 mais n’en détermine pas les causes. Elle reconnaît aussi l’œuvre positive de la France en Afrique du Nord et dans ses anciennes colonies ce qui a soulevé une vague de protestations chez certains historiens, associations et élus et repose la question du bilan de la colonisation mais aussi celui de la décolonisation. Quelle était la situation des « colonies » avant l’occupation française ? Quelle fut l’action de notre Pays ? Peut-elle être considérée comme positive pour les populations concernées ou est-elle assimilable au nazisme comme l’affirme le Président algérien ? Vietnam, Cambodge, Algérie, Côte-d’Ivoire, Congo, Sénégal, Tchad, Togo, Bénin… quel est le sort des populations depuis la décolonisation ? En conclusion, faut-il abroger la loi 2005-158 en faveur des Français rapatriés ? Ces questions seront abordées en présence d’historiens, de parlementaires et de témoins.
Le nombre de places étant limité, inscrivez-vous dès aujourd'hui !
En fonction des places disponibles,
une priorité sera donnée aux adhérents et ami
de Jeune Pied-Noir qui auront adressé leur réservation
avant le vendredi 16 septembre
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Télécharger ce texte en Pdf : Bulletin d'inscription
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HISTOIRE & MEMOIRE du samedi 23 avril 2005
Nous avons le plaisir de vous annoncer, qu'autour de l'historien Guy PERVILLE, seront présents les historiennes et historiens :
- Michèle BAUSSANT, Maurice FAIVRE, Jacques FREMEAUX, Raoul GIRADET*, Jean MONNERET
* en attente de confirmation
et que plusieurs chercheurs en histoire assisteront à cette rencontre avec les "oubliés" de la guerre d'Algérie et les victimes de l'après 19 mars 1962 dont les interventions seront illustrées des témoignages de :
- Hervé BOURGES, Jean Pierre CHEVENEMENT, Jean FAURE, sénateur, Alain KRIVINE, Jean LACOUTURE, Kléber MESQUIDA, député...
Cette rencontre organisée par Jeune Pied-Noir entre historiens et témoins les conséquences du19 mars 1962 en Algérie, ouvre le débat sur les responsablités politiques.
En effet la loi 2005-158 (JO du 24 février 2005) portant reconnaissance de la Nation et contribution nationale aux Français rapatriés, reconnaît dans son article 2 la réalité de ces massacres mais pas leurs causes. Dans son article 3, elle crée une Fondation de la mémoire de la guerre d'Algérie dont la vocation sera de définir la part de responsabilité de l'Etat français. Chercheurs et historiens auront cette lourde mission.
Est-il nécessaire d'attendre les travaux de la Fondation? Les archives et les témoignages disponibles permettent-ils de déterminer dès aujourd'hui les responsabilités? Dans la négative, quelles archives doivent être rendues accessibles aux historiens et chercheurs ? Que peuvent déjà répondre les historiens et les chercheurs ? Autant de questions dont les réponses vont peut-être permettre à plus de 1,5 millions de Français et leurs descendants, spoliés de leurs droits, d'obtenir justice.
A cette rencontre, qui aura lieu au Sénat le samedi 23 avril de 14h à 18h, sont invités tous les chercheurs et historiens spécialistes de la guerre d'Algérie de toutes sensibilités.
Le professeur Maurice Allais, prix Nobel d'Economie et auteur de "L'Algérie d'Evian" (juillet 1962), adressera un message aux participants. Des parlementaires et des journalistes seront présents.
L'idée est d'alterner pour chaque question entre des témoignages des "oubliés" de la guerre d'Algérie et les réponses des historiens.
Ainsi interviendront :
- un gendarme témoin du refus des autorités française de délivrer des otages alors que leur lieu de détention était connu
- un soldat de métropole resté en Algérie à la demande de l'Etat français enlevé le 1er septembre 1962, torturé et miraculeusement rescapé.
- une jeune femme grièvement blessée lors d'un attentat FLN à Alger
- un soldat français prisonnier du FLN durant 114 jours,
- des témoins de la fusillade de la rue d'Isly,
- des harkis prisonniers durant des années dans les geôles algériennes,
- un marin français ayant rencontré des européennes détenues en Algérie en 1964, etc...
Bref tous ces "oubliés" de la guerre d'Algérie qui n'ont pas pu s'exprimer durant plus de 40 ans.
Merci de diffuser cette information auprès des chercheurs et historiens spécialistes de la guerre d'Algérie que vous connaissez. |
Jeune Pied-Noir
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Rencontre Histoire & Mémoire
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Après le vote de la loi 2005 – 158 en faveur des Français rapatriés.
Les chercheurs et historiens peuvent-ils déterminer les responsabilités dans les massacres, les assassinats, les enlèvements, les séquestrations arbitraires dont ont été victimes les Français d’Algérie après le 19 mars 1962 ? |
Samedi 23 avril à 13h 30 précises
Au Sénat - 15, rue de Vaugirard – 75006 Paris
Avec Guy Pervillé
Professeur d’Histoire contemporaine de l’Université de Bordeaux
Spécialiste de la guerre d’Algérie
Le 10 février 2005 le Parlement adoptait le projet de loi N°2005-158 "portant reconnaissance de la Nation et contribution nationale en faveur des Français rapatriés" (J.O du 23 février 2005). Plus de 43 ans après leur exode, cette loi reconnaît la réalité des crimes commis contre les Français d'Algérie après le 19 mars 1962 mais n’en détermine pas les causes. Selon les propos même du Ministre des Anciens Combattants, M. Hamlaoui Mekachera, il appartient aux chercheurs et historiens de déterminer la part de responsabilité de l’Etat français de 1962 dans ces drames. Peuvent-ils le faire à partir des archives déjà disponibles et des témoignages des victimes ? Faut-il leur donner accès à de nouvelles archives encore inaccessibles ? De nouveaux témoignages peuvent-ils éclairer les zones d’ombre ? Des questions qui seront abordées en présence d’historiens, de députés et sénateurs, de journalistes et de témoins. Afin de permettre une large consultation un questionnaire est mis à disposition des historiens, chercheurs et élus qui ne pourront se rendre à cette première rencontre.
Le nombre de places étant limité, inscrivez-vous dès aujourd'hui !
En fonction des places disponibles, une priorité sera donnée aux adhérents de Jeune Pied-Noir qui auront adressé leur réservation avant le mardi 19 mai
Bulletin de réservation à retourner dans les meilleurs délais
Seules les réservations accompagnées de leur règlement seront prises en compte |
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Jeune Pied-Noir - BP 4 - 91570 Bièvres - Courriel : jeunepiednoir@wanadoo.fr
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O Adhérent de Jeune Pied-Noir à jour de cotisation : gratuit.
O Réserve ………………place(s) non-adhérent au prix de 40 € = …………. €
O Association de Français d’AFN é d’Outre-mer : 100 € donnant droit à 2 places.
O Historiens, chercheurs, étudiants … (autres que ceux invités) : 20 €
O Ne pouvant me rendre à cette rencontre, je verse ……….. € pour contribuer à son succès.
O Je commande ……….…… dossier(s) comprenant les interventions et la documentation remise aux participants : 50 € franco de port.
Chèque à libeller à l'ordre de Jeune Pied-Noir Date - signature
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